Herlings a repris la moto très tard, visiblement début février,
afin de laisser sa jambe se recalcifier correctement suite à sa fracture l’an
dernier.
Avec un tel manque de roulage, ses adversaires savaient que le Néerlandais n’arriverait pas aux premiers GP à 100%. L’occasion pour eux de prendre un éventuel avantage. Seulement Herling a gagné les 4 manches, avec moins d’insolence que l’on a connu, mais c’est quand même pour ses adversaires un coup dur.
Avec un tel manque de roulage, ses adversaires savaient que le Néerlandais n’arriverait pas aux premiers GP à 100%. L’occasion pour eux de prendre un éventuel avantage. Seulement Herling a gagné les 4 manches, avec moins d’insolence que l’on a connu, mais c’est quand même pour ses adversaires un coup dur.
Le plus tenace lors de ce début de campagne a bien été Dylan Ferrandis, le pilote Kawasaki ne cache
pas ses prétentions, « battre Herlings », mais le compteur du
Français a déjà un déficit de 22 points. Il n’y a donc aucune autre solution
pour Dylan que de gagner des manches … devant Herlings.
Pauls Jonass a réussi une entrée en matière exceptionnelle
qu’il devra confirmer sur toutes les surfaces.
Julien Lieber s’est montré rapide, mais insuffisamment
fiable, avec une grosse chute qui aurait pu le mettre sur la touche un bon
moment. Plusieurs pilotes sont passés par l’avant.
Valentin Guillod, Alexandr Tonkov et Tim Gajser n’ont pas été à la hauteur de nos
attentes, on peut espérer une « réaction » rapide quand les
conditions seront un peu plus « normales ».
Que dire de Jordi Tixier, évidemment pas à sa place, Jordi
est le champion en titre quoi que l’on dise, c’est un pilote « régulier »,
appliqué, et jusqu’à cette heure interdit de GP d’Argentine. Son retard en termes
de points va être considérable.
Jeremy Seewer (Suzuki) ou Mel Pocock devraient eux aussi se
montrer plus à leur avantage mais cette nouvelle domination d’Herlings ne nous
laisse pas présager d’un grand suspens en MX 2, même si l’on sait que la saison
est longue.