Et puis, plus rien, ou plutôt si, une succession d’ennuis
mécaniques, tantôt l’embrayage, tantôt la boite, le moteur qui cale sur la ligne,
etc, bref, des ennuis avec lesquels aucun pilote ne monte sur un podium. On ajoute aussi quelques chutes.
Dans
ce cas, le doute s’installe, la confiance s’amincit, la tension monte dans les
équipes, cela devient difficile de renverser la vapeur. Certaines choses nous dépassent un peu, Kent n'a pas de souci mécaniques, Vasquez pas plus, Quartararo, Navarro ou Antonelli non plus, alors ?
On revient à la suite de la saison, ce n’est pas le point récolté à Jerez qui peut donner
satisfaction. Et les 8 récoltés dimanche sont une bien maigre consolation même
si cela permet de se remettre en jambe.
Au Sachsenring, Masbou est revenu un moment à la 3ème
position avant de reculer 8ème, s’il parvenait à suivre son groupe,
il n’était pas en mesure de se mêler à
la lutte pour les premières places avec Fenati, Bastianini et Antonelli. Mais il finit sur ses roues sans ennuis mécaniques.
L’Albigeois espère bien se relancer, la saison est à moitié,
les prétentions légitimes du début de saison sont à oublier, reste à essayer de
gagner des courses, monter sur les podiums et batailler devant.