En clair, pas de mécanicien le soir, c’est le pilote qui doit
remettre la moto en état, vidange, filtre, pneus, vérif’, etc. Il faut donc préserver
au mieux sa monture, toute chute implique autant de sommeil en moins.
L’Italien ne dispose pas de grands moyens, la catégorie « malle-moto » (une vingtaine de pilotes cette année) lui permet de minimiser son budget qu’il peine toujours à boucler. D’un autre côté,
le défi le motive particulièrement, nous tenterons de suivre son périple en janvier.
Sur sa page face-book, ici, vous pourrez suivre ses aventures presque
en live, Manuel postera des vidéos via sa caméra GoPro.
Le sympathique Italien croisera sur la piste un de ses
ainés, Franco Picco qui repart à moto pour un nouveau Dakar à 61 ans, après une
expérience quad l’an dernier.
On souhaite à Manuel de réussir son pari.