qui passent les nuits à tenter de réparer une moto en panne, à tirer à la corde celle d'un copain, des anonymes qui dorment pas plus de 2 heures par nuit, ces modestes héros qui écrivent l’histoire du Dakar.
Mais cette année, rien, absolument rien, bien sûr, on a
visité le camping-car d’un pilote Peugeot, on a bien vu Elena servir le café à
Loeb, etc…
Déjà que l’émission Bivouac avait subit depuis plusieurs
années une cure d’amaigrissement, passée de 1h30 à ½ heure, là, on touche le fond.
Quand on imagine les moyens en place, les heures d’images
disponibles, même les reportages sur le pays traversé fait un peu pitié.
Les belles histoires ne manquent pourtant pas ...