
Joan Barreda : « Étape très compliquée. J'ai démarré
très fort dès le début. Mais Marc (Coma) a accéléré et m'a rejoint dans les
dunes de la fin d'étape. Je suis content car je ne peux pas faire plus.
Vraiment. Il reste deux jours très durs. Je vais continuer sur la même
tonique. Demain je devrais ouvrir. Mais
je suis
content du travail fait. »
Marc Coma : « Une étape compliquée du désert d'Atacama. Très rapide au début, et ensuite nous avons trouvé une belle portion de dunes. C'est là que j'ai essayé de rattraper Joan, et quand je l'ai rejoint, j'ai juste continué de le suivre jusqu'à la fin. Et au total c'est une bonne journée pour moi. La psychologie joue à ce stade, mais c'est important depuis le début. Et si j'en suis ici dans cette position, c'est plutôt bon signe, alors je vais essayer de continuer comme ça. »
Marc Coma : « Une étape compliquée du désert d'Atacama. Très rapide au début, et ensuite nous avons trouvé une belle portion de dunes. C'est là que j'ai essayé de rattraper Joan, et quand je l'ai rejoint, j'ai juste continué de le suivre jusqu'à la fin. Et au total c'est une bonne journée pour moi. La psychologie joue à ce stade, mais c'est important depuis le début. Et si j'en suis ici dans cette position, c'est plutôt bon signe, alors je vais essayer de continuer comme ça. »
Cyril Despres : « Une grosse étape, avec 420 kilomètres
bien variés : des pistes super sympas pendant 200 kilomètres, et ensuite on est
rentré dans le dur. C'est-à-dire des pistes avec du fesh-fesh, des bosses et
des pierres, ce qui est plutôt difficile pour les poignets, les mains et les
bras en général. Et ensuite les dunes, c'est comme la cerise sur le gâteau,
c'est le côté fun de la journée. La descente est toujours aussi
impressionnante, on prend de la vitesse sans accélérer, mais il faut tout de
même faire très attention, parce qu'on est jamais loin de partir en cabrioles.
Je suis resté au contact des autres, même si j'ai rendu un peu la main à la fin
parce que j'avais peur de consommer un peu trop d'essence. A l'arrivée, je
crois qu'il doit me rester un litre ! Mais bon, je suis encore dans le bon
groupe. »
source dakar.fr