La victoire de Romain Febvre dimanche à Villars sous Ecot nous
a rempli d’émotion, ce n’est pas si
souvent qu’un pilote Français parvient à remporter son GP national.
Déjà bien inaccessible samedi après-midi, impossible d’approcher
du auvent Yamaha Rinaldi dimanche entre les 2 manches et en fin
de journée.
Nous avions un peu plus tôt pris nos précautions en allant voir de près « l’outil » du Vosgien.
La 450 Yamaha YZF bien calée sur son support laisse apparaitre son « intimité ».
Nous avions un peu plus tôt pris nos précautions en allant voir de près « l’outil » du Vosgien.
La 450 Yamaha YZF bien calée sur son support laisse apparaitre son « intimité ».
Ici dans le Doubs, nous ne sommes pas en studio, la moto est
en configuration course. Comme toujours devant des motos de ce type, on est ébahie
par la beauté des pièces qui la compose.
Tout d’abord, la fourche Kayaba usine de 50 mm est serrée
dans des tés X-Trig, l’amortisseur est de même provenance, les roues sont
composées de moyeux Kite avec des jantes Excel, Braking et Nissin s’occupent des
freins.
Vous aurez remarqué la soudure tout le long du bras-oscillant, renforçant la rigidité et la solidité de l’ensemble.
Vous aurez remarqué la soudure tout le long du bras-oscillant, renforçant la rigidité et la solidité de l’ensemble.
Le moteur sort direct des ateliers Rinaldi Racing, on
distingue la ligne titane Akrapovic qui s'enroule autour de la culasse et sa protection carbone.
Il ne vous a pas échappé que le kick de démarrage n’est plus
là, seul le démarreur permet de lancer le moteur.
Maintenant, on visionne le diaporama, cliquez pour agrandir.
 |
|
Restait le plus dur...aller gagner le GP...
|