Pour cela, sa
vitesse oscille entre 67 et 307 km/h environ en Moto GP. (Malgré une régularité
de métronome, les vitesses données
ici peuvent varier de quelques km/h).
On fait le tour avec le pilote Yamaha, avec la vitesse mini à chaque virage et maxi entre deux.
On fait le tour avec le pilote Yamaha, avec la vitesse mini à chaque virage et maxi entre deux.
C’est parti devant les stands, accélération maximum jusqu’à 305-310
km/h, freinage sur l’angle, il faut perdre un bon 200 km/h pour la chicane Dunlop.
En sortie sous le pneu Dunlop, petite pointe à 190-200 et plongeons
en aveugle à droite en descente sur les freins dans la Chapelle, au plus lent,
au moment où Lorenzo passe un rapport, il est un peu en dessous de 100 km/h.
Prise des freins pour le Musée à 210-220, pour descendre à
83-84 km/h au centre du virage et nouvelle accélération jusqu’à 250.
Le garage vert qui saute à la tête est très lent, (2 virages
pris en un seul) 67-68 km/h au plus bas, et nouvelle accélération jusqu’à 290-300 km/h
avant de freiner pour la chicane du chemin aux bœufs, la moto change d’angle
vers 105-110 à l’heure. Il accélère à 220 pour arriver aux « S » bleus, négociés à un peu moins de 100 km/h au
centre des 2 virages, pointe à 165 avant le raccordement à environ 80 sur l’angle
au plus bas et sur les vibreurs.
Et ça repart pour le tour suivant.
Les tours les plus rapides en Moto GP ont été faits en 1’33’3
en course. Malgré des vitesses de pointe inférieures de 90 km/h et une
puissance 4 fois plus faible qu’une Moto
GP, les pilotes Moto 3 les plus rapides ont bouclés quelques tours en moins de
1’43, seulement 10 secondes de plus, les petites cylindrées compensent une
partie de leur faible puissance par une vitesse de passage mini en virage
supérieure aux Moto GP. Impressionnant quand même.